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jeudi 9 mai 2019

Atik sa poste pa: Jeffnie Jean Louis a mai 09, 2019



Selon des informations qui nous sont parvenues, le Premier ministre a.i. a présenté une liste partielle de 16 personnalités qui devront composer son cabinet, parmi ces dernières figure 6 Ministres reconduits, nous vous invitons à découvrir la liste qui circule actuellement :


  • Roudy Aly, Ministre de la Justice et de la Sécurité Publique (MJSP) (reconduit)
  • Ronald Décembre, Ministre de l'Économie et des Finances (MEF) (reconduit)
  • Edmond Bochit, Ministre des Affaires Étrangères (MAE) (reconduit)
  • Fritz Caillot, Ministre des Travaux Publics Transport et Communication (MTPTC) (reconduit)
  • Jean Michel Lapin (reconduit)
  • Audin Bernadel, Ministre de l'Intérieur et des Collectivités Territoriales (MICT)
  • Marjorie L. Léonard, Ministre à la Condition Féminine et aux Droits des Femmes (MCFDF)
  • Jonas Coffy, Ministre du Commerce et de l’Industrie (MCI)
  • Felito Doran, Ministre des Affaires Sociales et du Travail (MAST)
  • Marie Greta Roy Clément, Ministre de la Santé Publique et de la Population (MSPP) (reconduite)
  • Ecclésiaste Télémaque, Ministre de l'Éducation Nationale, et de la Formation Professionnelle (MENFP)
  • Max Arthur, Ministre de la Jeunesse et des Sports et de l'Action Civique (MJSAC)
  • Guy François, Ministre des Haïtiens vivant à l'Étranger (MHAVE)
  • Frantz William Michel, Ministre de la Planification et de la Coopération Externe (MPCE)
  • Pierre Michel Lafontant, Ministre de l'Agriculture et des Ressources Naturelles et du Développement Rural (MARNDR)
  • Petriks Justin, Ministre de l'Environnement (MED)

À noter que cette liste est incomplète et devrait être suivit de la liste des Secrétaire d'État, et sera officiel à sa publication dans Le Moniteur.

mercredi 8 mai 2019

Atik sa poste pa: Jeffnie Jean Louis a mai 08, 2019


Lors de l'entretien avec la délégation du district de Wenshan, le secrétaire du Comité du Parti de la province de Hà Giang, Triêu Tài Vinh, a rappelé la coopération entre les deux parties lors de ces dernières années. Il a souhaité qu'en 2019, les organes compétents de Hà Giang et du district de Wenshan puissent remplir les formalités nécessaires à l'ouverture officielle du point de dédouanement des marchandises de Na La au poste frontalier international de Thanh Thuy (district de Van Xuyên, province de Hà Giang) - Tianbao (district de Wenshan, province du Yunnan).

Triêu Tài Vinh a en outre appelé à finaliser rapidement les infrastructures et les formalités juridiques pour attirer davantage d'entreprises participant aux activités d'import-export au poste frontalier Xin Man - Dulong.

Il a également insisté sur la nécessité de mettre en œuvre la convention de coopération dans la gestion transfrontalière de la main-d'œuvre, de créer des conditions favorables à la coopération entre les entreprises des deux localités dans la production et la transformation de produits agricoles.

Selon Tong Zhi Yun, la Chine et le Vietnam sont de bons partenaires et de bons amis. En 2019, Wenshan et Hà Giang continuent de renforcer leurs relations et de partager des expériences, dans le but de faire de leurs relations un exemple pour les liens entre le Vietnam et la Chine.

Il a promis de demander aux organes compétents d'accélérer l'amélioration des infrastructures dans le poste frontalier international de Thanh Thuy - Tianbao et celui de Xin Man - Dulong.

Selon lui, les deux parties devraient coopérer dans le développement des infrastructures de transport, la formation des ressources humaines, l'attraction des investissements, le tourisme. Il a souhaité renforcer la coopération avec les établissements de production et de transformation de produits agricoles et pharmaceutiques de Hà Giang, et que les entreprises de Wenshan bénéficient de conditions favorables pour investir à Hà Giang.

Atik sa poste pa: Jeffnie Jean Louis a mai 08, 2019


En Asie centrale, les filles des chefs d'Etat font souvent parler d’elles, et ce, depuis une bonne quinzaine d’années, depuis qu’elles sont des acteurs politico-financiers des ex-républiques soviétiques de la région. La fille aînée du désormais ex-président du Kazakhstan, Noursoultan Nazarbaïev, vient par exemple d’être élue à la tête du Sénat.
De notre correspondant dans la région,
Mis à part le Kirghizstan, les cinq républiques d'Asie centrale sont des régimes autoritaires, voire dictatoriaux. Le pouvoir y est très personnalisé et plus ou moins concentré dans les mains d’une famille. L’autre facteur, dû au hasard, est que les présidents de la région ont une certaine tendance à avoir des filles, ce qui ne les arrange pas toujours. On a l’impression qu’ils préféreraient avoir des garçons pour mettre en place des successions quasi dynastiques, comme cela s’est passé en Azerbaïdjan, dans le Caucase, où Ilham Aliev a succédé en 2003 à son père Heydar.
Des postes stratégiques
Elles n'occupent pas toujours des postes politiques. Dariga Nazarbaïeva, la fille de l’ancien président du Kazakhstan, qui a quitté le 20 mars dernier le fauteuil qu’il occupait depuis près de 30 ans, a été « élue », si l’on peut dire, présidente du Sénat au lendemain de la démission de son père. Elle ne va pas lui succéder. Mais on peut penser toutefois que cela pourrait arriver, le président du Sénat devenant chef de l’Etat en cas de vacance du poste. Saida Mirzoïoeva, fille du président de l’Ouzbékistan au pouvoir depuis la fin 2016, vient d’être nommée directrice adjointe d’une agence où elle sera chargée de promouvoir l’image du pays à l’étranger.
De redoutables « prédatrices » économiques
Elles ont souvent aussi un rôle dans l’économie, directement ou via leurs maris, celles-ci étant très courtisées évidemment. En Ouzbékistan, Goulnara Karimova, fille de l’ancien chef de l’Etat Islam Karimov, est aujourd’hui en prison. Moins parce qu’elle aurait violé la loi que parce qu’elle a fini par menacer les positions des oligarques et autres hauts-fonctionnaires qui contrôlaient l’économie nationale. On retrouve cela ailleurs dans la région. La fille du président du Tadjikistan, Tahmina Rahmon, a aussi une terrible réputation dans son pays, pour avoir mis la main sur plusieurs centres commerciaux et s’être arrogé des affaires juteuses, comme dans le domaine de l’énergie.


Atik sa poste pa: Jeffnie Jean Louis a mai 08, 2019


Un an après l’annonce du retrait américain de l’accord de Vienne, le président iranien a donné 60 jours aux autres signataires pour mettre en œuvre leurs promesses.
Un an après la décision de Donald Trump de retirer les Etats-Unis de l’accord signé à Vienne en 2015 et de rétablir progressivement les sanctions économiques américaines visant l’Iran, Téhéran a décidé de cesser d’appliquer « certains » de « ses engagements » pris dans le cadre de l’accord international sur son programme nucléaire.
L’Iran arrête de limiter ses réserves d’eau lourde et d’uranium enrichi comme il s’y était engagé au titre de l’accord international de 2015, précise le Conseil suprême de la sécurité nationale iranien. Téhéran donne « soixante jours » aux pays restant parties à ce pacte (Allemagne, Chine, France, Grande-Bretagne et Russie) pour « rendre opérationnels leurs engagements en particulier dans les secteurs pétrolier et bancaire », sous peine de voir l’Iran renoncer à appliquer d’autres de ses engagements, ajoute le conseil. La décision a été notifiée officiellement mercredi 8 mai en début de matinée, à Téhéran, aux ambassadeurs des pays encore partie à cet accord (Allemagne, Chine, France, Grande-Bretagne et Russie), écrit le ministère des affaires étrangères iranien dans un communiqué.
Les Etats-Unis ne seront « jamais otages du chantage nucléaire du régime iranien », a réagi l’émissaire américain pour l’Iran, Brian Hook. « Le régime a annoncé aujourd’hui, à l’occasion de l’anniversaire de notre retrait de l’accord » censé empêcher Téhéran de fabriquer la bombe atomique, « qu’il entendait étendre son programme nucléaire », a affirmé le diplomate à des journalistes. « C’est contraire aux normes internationales et c’est une autre tentative de chantage nucléaire de la part du régime », a-t-il ajouté. Mercredi soir, Donald Trump a publié un décret exécutif annonçant de nouvelles sanctions visant les secteurs de l’acier, de l’aluminium, du cuivre et du fer en Iran, qui procurent des devises étrangères à l’économie iranienne.
Un an après l’annonce du retrait américain
« Les mesures prises par les Etats-Unis, en particulier depuis un an mais aussi avant (…) leur retrait [de l’accord], avaient clairement pour but de causer une interruption de l’application [de cet accord] », a déclaré, pour sa part, le ministre des affaires étrangères iranien, Mohammad Javad Zarif, en visite à Moscou. Les sanctions imposées par Washington ont affecté lourdement l’économie du pays et les relations commerciales entre l’Iran et les autres pays parties à l’accord.
Les Européens, la Chine et la Russie ont maintenu leur engagement mais se sont montrés jusque-là incapables de respecter leur promesse de permettre à l’Iran de bénéficier des avantages économiques qu’il escomptait de l’accord en contournant les sanctions américaines.
L’Iran a fait preuve jusque-là de « patience », mais la République islamique juge désormais « approprié de cesser d’appliquer certains des engagements et mesures volontaires » qu’elle a prises dans le cadre de cet accord, a-t-il ajouté, dans des propos retransmis par la télévision d’Etat. Néanmoins, insiste M. Zarif, « l’Iran ne se retirera pas » de cet accord, et les mesures prises par Téhéran, correspondent à un « droit » laissé aux parties à l’accord en cas de manquements par une autre partie.

Mise en garde d’Israël à Téhéran
La France avait mis en garde Téhéran mardi contre une telle décision, soulignant que des entorses au compromis de 2015 entraîneraient des sanctions européennes. « Si ces engagements n’étaient pas respectés, natuellement cette question [des sanctions]serait posée », a répété mercredi matin la ministre de la défense, Florence Parly, sur BFM-TV et RMC. « Aujourd’hui rien ne serait pire que l’Iran, lui-même, quitte cet accord », a-t-elle aussi déclaré. A la suite de l’annonce américaine de nouvelles sanctions, le Quai d’Orsay a en outre fait savoir que « la France appelle a éviter toute action qui alimenterait une escalade ».
« L’annonce du jour de la part de Téhéran est (…) une démarche inopportune, a regretté également le secrétaire d’Etat britannique aux affaires étrangères, Mark Field. Nous incitons l’Iran à ne pas prendre d’autres décisions menant à l’escalade et de respecter ses engagements. » Le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, l’un des plus ardents pourfendeurs de l’accord, a déclaré mercredi que son pays ne laisserait pas l’Iran se doter de l’arme nucléaire. De son côté, la Chine a appelé à maintenir l’accord conclu en 2015 qui avait permis à Téhéran d’obtenir une levée d’une partie des sanctions internationales visant le pays. « Maintenir et appliquer l’accord est de la responsabilité de toutes les parties », a déclaré devant la presse le porte-parole de la diplomatie chinoise, Geng Shuang.
L’annonce iranienne intervient dans un climat de tension exacerbée avec les Etats-Unis. Le Pentagone a annoncé dépêcher plusieurs bombardiers B-52 dans la région du Golfe. Le secrétaire d’Etat américain, Mike Pompeo, a fait mardi une visite surprise à Bagdad, affirmant disposer d’informations sur « une escalade des activités de l’Iran » qu’il a accusé de préparer des « attaques imminentes » contre les forces américaines dans la région.


Atik sa poste pa: Jeffnie Jean Louis a mai 08, 2019


En revenant sur son engagement de légiférer sur les points de désaccords commerciaux avec les Etats-Unis, arguant de procédures trop longues, Pékin remet en cause la signature d'un accord cette semaine, à l'occasion de la venue ce jeudi aux Etats-Unis du vice-Premier ministre Liu He. En rétorsion, l'administration Trump va appliquer une hausse de certains tarifs douaniers à partir de vendredi.

La réponse de Pékin est arrivée à Washington tard vendredi soir sous la forme d'un pli diplomatique avec des passages supprimés à quasiment chaque point du projet d'accord de près de 150 pages qui devait couronner des mois de négociations commerciales, a appris Reuters auprès de trois sources gouvernementales américaines et trois autres sources au courant des discussions. Dans chacun des sept chapitres du projet d'accord, la Chine a retiré son engagement à légiférer pour répondre aux griefs qui ont amené l'administration Trump à déclencher une guerre commerciale: le vol de propriété intellectuelle et de secrets commerciaux, le transfert forcé de technologies, la politique de la concurrence, l'accès aux marchés financiers et la manipulation de sa devise.
L'offensive de Trump
Le président Donald Trump a répondu dimanche en annonçant que 200 milliards de dollars de produits chinois jusque-là soumis à des droits de douane de 10% seraient taxés à hauteur de 25% à partir de vendredi - soit au beau milieu de la visite prévue à Washington du négociateur en chef chinois, le vice-Premier ministre Liu He.
La suppression par la Chine de toute mention d'obligation législative a été jugée inacceptable par le représentant américain au Commerce, Robert Lighthizer, pour qui un cadre contraignant est indispensable après des années de promesses non tenues. Le principal négociateur américain pousse depuis le début pour une stricte obligation d'application, sur le modèle des sanctions économiques imposées à la Corée du Nord ou l'Iran, plutôt que pour un simple accord commercial. "Cela mine l'architecture de base de l'accord", a dit une source basée à Washington au sujet de la position chinoise. Aucun commentaire n'a pu être obtenu auprès des porte-parole de la Maison blanche, de la représentation au Commerce ou du Trésor.
Revirement chinois
A Pékin, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a expliqué que les divergences dans les relations commerciales devaient être surmontées dans le cadre d'une procédure de négociation et que la Chine ne cherchait pas à "éviter les problèmes". Robert Lighthizer et le secrétaire au Trésor, Steven Mnuchin, ont été abasourdis par le revirement chinois. Tous deux ont évoqué lundi un recul de la Chine pour expliquer le coup de sang du président Trump mais sans apporter de précisions. Selon deux sources, Liu He a déclaré la semaine dernière aux deux négociateurs américains qu'ils devaient faire confiance à la Chine pour qu'elle honore ses promesses par la voie de changements administratifs et réglementaires. Mnuchin et Lighthizer s'y sont opposés, rappelant que Pékin a reculé par le passé sur des promesses de réformes.
Une source du secteur privé informée des discussions a précisé que la dernière série de négociations s'était mal passée car la partie chinoise avait commencé à revenir sur ses positions. "La Chine a reculé sur une dizaine de points, si ce n'est plus (...) La véritable surprise, c'est que Trump ait attendu jusqu'à dimanche pour exploser", a-t-elle dit. "Après 20 ans où elle a pu se jouer des Américains, la Chine semble toujours sous-estimer cette administration."
Chute des marchés financiers
La menace de Donald Trump a fait chuter les marchés financiers qui, jusqu'à dimanche, croyaient les deux parties proches d'un accord. Certains observateurs se sont demandés si le président américain tentait un coup de poker pour obtenir de nouvelles concessions mais les sources ont assuré à Reuters que le recul chinois était grave et justifiait le durcissement de ton. Selon une source gouvernementale, les négociateurs chinois ont fait valoir qu'ils ne pourraient pas modifier le droit. Changer une loi est une procédure longue et compliquée en Chine, a dit un responsable chinois lui aussi au fait des négociations. Il a contesté l'idée d'un recul de la Chine sur ses engagements, affirmant que les demandes américaines devenaient plus "dures" et la voie vers un accord "plus étroite".
Liu doit arriver jeudi à Washington pour une nouvelle série de pourparlers qui, il y a une semaine encore, était présentée comme une ultime rencontre avant la conclusion d'un accord historique. Désormais la partie américaine doute que le vice-Premier ministre puisse relancer le processus de négociation, selon deux des sources. Pour éviter une escalade, a dit l'une des sources, Liu He devra revenir sur les modifications du texte proposées par Pékin et accepter le principe de nouvelles lois. La Chine devra aussi faire des concessions sur des demandes américaines qui restaient des points d'achoppement dans les négociations, comme la limitation des subventions chinoises à l'industrie ou la simplification de la procédure d'approbation des importations d'OGM américains.
La hausse des tarifs douaniers décidée par le président Trump doit prendre effet vendredi à 00h01 heure de Washington. Le recul chinois pourrait faire le jeu des "faucons" de l'administration Trump, à commencer par Robert Lighthizer. Steven Mnuchin, qui était partisan d'un accord moins contraignant, a semblé se ranger derrière Lighthizer quand les deux se sont exprimés devant la presse lundi, tout en laissant ouverte la possibilité d'une entente de dernière minute qui éviterait une escalade.